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Emanuel Gat Dance

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GOLD (2015) 55’

October 9, 2023

Version revisitée en 2015 de The Goldlandbergs créée en 2013 à Festival Montpellier Danse

À l’origine de GOLD, la pièce The Goldlandbergs a été créée en 2013 et n’a cessé d’évoluer depuis, dans une logique de work-in-progress permanent. Dotée d’un nouveau titre pour bien marquer la différence et interprétée par 5 danseurs (au lieu de 8 dans la version d’origine), elle se présente aujourd’hui sous une forme largement remaniée, en particulier au niveau de l’agencement de la lumière et du son. Il ne s’agit donc pas d’une reprise mais bien d’une recréation, qui procède d’un élan vers l’épure perceptible dès le titre, réduit à l’essentiel.

Le cœur du projet n’a, quant à lui, pas changé. Il trouve toujours sa pulsation première dans la coalescence de deux partitions d’exception : les Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach, telles que sublimées par Glenn Gould, et The Quiet in the Land (1977), une œuvre radiophonique à la fois documentaire et poétique conçue par le pianiste canadien. Emanuel Gat élabore une chorégraphie aussi dense et dynamique que l’est le matériau sonore dont il s’inspire, composée à la façon d’une fugue – au sens musical du terme – et sous-tendue par une observation minutieuse des rapports humains. Racontant de manière métaphorique une histoire de famille, GOLD provoque d’intenses correspondances entre le geste et la pensée, la musique et la danse, l’individu et le collectif. L’ensemble brille d’un éclat profond.

photos

Emanuel Gat est autant un peintre qu’un metteur en scène ou chorégraphe II souligne ce que l’on pourrait ne pas voir une main, un pied, un saut. Sans maniérisme Ce qui progressivement devient des variations, en accord avec les Variations Goldberg de Bach jouées par Glenn Gould, est raffine. Emanuel Gat ne laisse rien au hasard. En simples slips, les danseurs et danseuses s’emparent du plateau pour le transfigurer. Ils deviennent des icônes Tout est transcendé, sans doute grâce a la voix et aux notes si finement perlées de Gould [...]. La danse est délibérément debout et on est ravi par les adages de duos et par la ferveur qui envahit la salle. Rien de religieux, mais Emanuel Gat a de toute évidence un rapport fort au sacré.

Libération - Marie-Christine Vernay

Dans ses « Goldlandbergs », présenté en ouverture de Montpellier Danse, Emanuel Gat travaille sur le principe de la fugue, cher à Bach. Cet art de l’imitation et du contrepoint où les thèmes glissent de l’un à l’autre, se démultiplient, se regroupent et se redéploient, porte le principe même de la mélodie intérieure. La pièce est écrite à fleur de peau, sur le frisson, dans une sublime délicatesse. Précise et parfaitement interprétée. [...] Emanuel Gat manie son art très personnel de la chorégraphie comme une science qu’il pousse de plus en plus loin, pour traduire des réflexions de plus en plus subtiles.

Le Figaro - Ariane Bavelier

Cette ambiance solaire, surprenante au regard de pièces récentes de Gat, plutôt amateur de pénombre douce, colle à l’esprit ludique et malicieux de ce spectacle pour huit interprètes. Tantôt sautant comme des cabris, tantôt se glissant à quatre pattes sous un partenaire, causant et batifolant jusqu’à grimper les uns sur les autres dans un méli-mélo de jambes et de bras, ils circulent d’un bord du plateau à l’autre avec une désinvolture élégante. Bonheur d’être en scène, de jouer avec une conduite spectaculaire qui laisse apparemment (un peu) libre aux entournures.


Une fois encore, observer l’écriture gestuelle d’Emanuel Gat est jouissif. Chez lui, la chorégraphie a tout d’un organisme vivant qui se faufile sur le plateau pour contaminer les corps et leur faire prendre des formes qui se relayent les unes les autres. Comme une tache d’huile qui glisse, se décompose et se recompose autrement mais dans une même énergie, le mouvement est sans cesse reconduit. Une nuance particulière dans The Goldlandbergs : Gat laisse non seulement la porte ouverte aux humeurs, mais il incruste sa danse dans des situations presque quotidiennes qui suspendent son cours.

Le Monde - Rosita Boisseau

Presse

Featured
Le Figaro - Emanuel Gat hypnotise Montpellier
Le Figaro - Emanuel Gat hypnotise Montpellier

Emanuel Gat manie son art très personnel de la chorégraphie comme une science qu'il pousse de plus en plus loin, pour traduire des réflexions de plus en plus subtiles. Sa position de chorégraphe associé à cette édition de Montpellier Danse permet de mieux entrer dans son univers. Tous les après midis, il crée une pièce en public. On le voit demander aux danseurs d'interpréter les paroles d'une chanson qu'ils ont en tête. On le voit aussi les suivre en direct, appareil de photo au poing, comme pour mieux saisir les mouvements qui fusent et la concentration dans les profils et les regards. Ses photos ciselées dans l'or tendre de la chair et du soleil font l'objet d'installations à la chapelle et la cave de l'Agora. L'une et l'autre évoquent l'intimité dans une nuit de velours, bruissante de pas ou de cantiques. Immobile mais hypnotique, c'est l'autre chant de la danse.

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Finanical Times - Emanuel Gat, L’Agora, Montpellier Danse – review
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Dansercanalhistorique - Les photos d'Emanuel Gat
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Tanz Im August - The Goldlandbergs
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Emanuel Gat combines Glenn Gould with Glenn Gould: the Bach-Interpreter with the radio visionary. The result led to a highly baroque dance scenery, extended by a captivating photo installation.

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Libération - Montpellier gâté par Emanuel Gat
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Artiste associé cette année au festival héraultais, le chorégraphe israélien présenteu ne exposition de photos et trois créations, dont « The Goldlandbergs », une sorte de conversation d’après Bach avec le pianiste Glenn Gould.

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Télérama - Emanuel Gat, Sacre/Gold
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Revoir la version salsa du Sacre du printemps, d’Igor Stravinsky, imaginée en 2004 par le chorégraphe israélien Emanuel Gat, est un régal que l'on savoure à l'avance. Sur un tapis rouge, deux hommes et trois femmes tourbillonnent sur les élans percussifs de la musique. La chasse est ouverte, le plaisir déborde, les corps se choisissent.

Rosita Boisseau

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Au Théâtre de la ville, Emanuel Gat fait revivre Glenn Gould
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The Goldlanbergs était jusqu’au 29 mars au Théâtre de la ville. La création 2013 d’Emanuel Gat est un spectacle hybride. Il associe des documentaires sonores et visuels réalisés par l’un des grands interprètes de Bach, Glenn Gould à une danse dont la sobriété met en valeur l’univers artistique de ce musicien hors du commun.

31 mars 2014 par Marie Boëda

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The Goldlandbergs – Emanuel Gat
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Il faudra un jour faire une étude approfondie sur la fascination des chorégraphes contemporains pour la musique de Bach. Peut-être parce qu'elle ne s'encombre pas de fioriture, même si très complexe sur le fond, pour toucher au plus juste. Il ne suffit pas simplement de danser dessus, parce que ce serait trop facile. Il faut l'écouter, l'approfondir, comme si la danse était un nouveau contrepoint à la mélodie.

26 mars 2014 / par Amélie Bertrand

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« The Goldlandbergs », coup de chaud d'Emanuel Gat
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Au Théâtre de la Ville à Paris, le chorégraphe présente un spectacle autour de Glenn Gould.

27 mars 2014 / par Rosita Boisseau

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Crédits

Chorégraphie et lumières : Emanuel Gat
Une pièce pour cinq danseurs.
Musique : J.S.Bach. Variations Goldberg. Piano, Glenn Gould.
Bande son additionnelle : “The Quiet in The Land”, écrite et arrangée par Glenn Gould.
Lumières : Emanuel Gat en collaboration avec Guillaume Février.
Conception son : Emanuel Gat en collaboration avec Frédéric Duru

Production : Emanuel Gat Dance
Coproduction 2013 : Festival Montpellier Danse 2013, Théâtre de la Ville, deSingel campus international des arts, Lincoln Center Festival 2014, CCN Roubaix Nord-Pas de Calais Carolyn Carlson.
Avec le soutien de la Fondation BNP Paribas, Maison de la Danse Intercommunale d’Istres. La compagnie est soutenue par la Métropole Aix-Marseille Provence et le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur.

In The Goldlandbergs
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