NRC - Gat vertilt zich in ballet Requiem

Emanuel Gat is een waaghals. De Israëliër zet zijn choreografieën het liefst op beroemde muziekstukken. Zoals op Stravinsky’s Le Sacre du printemps, een ontzagwekkend muziekmonster dat hij met salsapassen knap bedwingt tot een ingetogen en meeslepend dansritueel. Ook maakte hij al een duet op Schuberts romantische Winterreise. Zijn nieuwste waagstuk heet K626 en is gezet op Mozarts Requiem, ; die dodenmis beladen met zonde en vergeving en met aan het slot het eeuwige licht. Hoe vertaal je Latijnse koorzang naar dans, als je niet de verheven stemming ervan tot uitdrukking wil brengen in clichés van geheven benen en pathetische armgebaren?

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Der Theaterverlag - Emanuel Gat « Rite of Spring », « K626 »

His shaved head, pronounced brow, his piercing eyes and warm smile, make for a disarming combination of looks and intention. In no uncertain terms, the Israeli-born choreographer is making people take notice. At 37, Gat is gaining international recognition for his choreographic work. In his new­est evening-length work for 11 female dancers, “K626,” Gat turns to Mozart‘s solemn and spiritual “Requiem“ in D minor, and infuses it with hip-hop moves, while his “Rite of Spring” works with a sensuous salsa transforming the thundering opus. Dissonance? Perhaps.

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Midi Libre - Festival Montpellier Danse : dix pièces pour le temps présent sur la scène de l’Agora

Du reste, l’usage des pointes, pas plus empêché que celui des pieds nus ; la jolie robe et le pantalon à plis, pas plus que la tunique transparente ou le kilt, noir et blanc, camaïeu, avec des pointes des couleurs vives. Tout un précipité pour de talentueux et fougueux danseurs transposé dans l’élégance des formes. Outre ce, des lumières activant la plastique des corps ou soulignant des temporalités entre confidence et plein feux des studios ; des musiques signées Gat, d’autres étonnamment chatoyantes, comme ce quatuor de tubas signé John Stevens.

Avoir été présent à cela, c’est avoir donné du temps à la pensée.

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L'Obs - Emanuel Gat : créations

Pour le Ballet du Grand Théâtre de Genève, le chorégraphe israélien Emanuel Gat vient de concevoir une nouvelle chorégraphie avant d’en créer une autre à la Biennale de Venise qui sera reprise lors des Festivals de Montpellier Danse et de Paris Quartiers d’été.

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Vancouver Courier - Q&A: Emanuel Gat on music, process and putting dancers in the driver seat

Ballet BC is known for its innovative programming, but putting choreographers Emanuel Gat and Ohad Naharin on the same bill is inspired. Gat is an Israeli-born, France-based choreographer known for his architectural style and intimate sense of movement. Naharin, also of Israel, is a dance veteran, the artistic director of the Batsheva Dance Company, and someone Gat personally admires.

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Frankfurter Rundschau - Mit harschem Tanz Botschaften überbringen

Es war wohl das für Kooperationen stets offene, stets neugierige Ensemble Modern, das den ersten Schritt tat, aber der israelische Choreograf Emanuel Gat (Student der Musik, ehe er sich dem Tanz zuwandte) scheint sich keinen Moment geziert zu haben: So stehen nun das Frankfurter Orchester und die Company Gats gemeinsam auf einer Bühne, jetzt der des Frankfurt LAB. „Story Water“ hatte im Sommer in Avignon Uraufführung, nun war das 75-minütige Stück ein Höhepunkt des in der Hauptsache vom Mousonturm ausgerichteten Tanzfestivals Rhein-Main.

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Profession Spectacle - « Story Water » d'Emanuel Gat et Ensemble Modern : La Cour d'Honneur à la Source

Jusqu’alors cloués sur nos fauteuils, saisis par la pureté et la modestie de la danse de Gat, les spectateurs n’ont qu’une envie : se ruer sur le plateau. Et l’on sort le sourire aux lèvres se rappelant pourquoi l’on fréquente si souvent les salles de spectacles : pour trouver ces rares et courts instants où se crée une assemblée joyeuse d’être unie par l’Art. Gat inscrit son nom au fronton des plus grands chorégraphes qui ont investi la Court d’Honneur.

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Theatrorama - Story Water d’Emanuel Gat au Festival d’Avignon

Jusqu’alors cloués sur nos fauteuils, saisis par la pureté et la modestie de la danse de Gat, les spectateurs n’ont qu’une envie : se ruer sur le plateau. Et l’on sort le sourire aux lèvres se rappelant pourquoi l’on fréquente si souvent les salles de spectacles : pour trouver ces rares et courts instants où se crée une assemblée joyeuse d’être unie par l’Art. Gat inscrit son nom au fronton des plus grands chorégraphes qui ont investi la Court d’Honneur.

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The New York Times - Review: Polish National Ballet Shows Its European Side at the Joyce Theater

“Le Sacre du Printemps”, du chorégraphe israélien Emanuel Gat, est hors du commun. C’est une sorte de cascade, accompagnée par le sacrifice rituel de Stravinsky, sur une piste de danse bondée, occupée par trois femmes et deux hommes qui s’entrecroisent dans un ruban de Moebius dansant, évoluant par des passes de salsa et de swing. Cette interprétation de la partition [...] est éloquente - tout autant qu’elle l’était déjà en 2006, lorsque la compagnie de Mr Gat l’a présentée pour la première fois à New York.”

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